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Sylvain Clapot - Photographe > Oisans

Oisans

Col du Galibier (2642 m) – Grandes Rousses
Col du Galibier (2642 m) – Grandes Rousses
10 mai 2021 In Grandes Rousses No Comment

Voilà un peu plus de 6 mois que je n’ai pas mis les pieds en montagne, la faute aux restrictions covidiennes et ma tendance à hiberner à cette période. Traditionnellement, le mois de mai sonne comme le début d’un nouveau cycle. Cependant, l’hiver joue les prolongations. Malgré la belle saison sur le calendrier, ces derniers jours ont été marqués par le froid, la pluie en vallée et la neige en montagne. Fort heureusement, un redoux passager, couplé à du beau temps, est annoncé ce week-end. L’occasion est toute trouvée pour retourner en altitude.

Cela dit, les forêts n’ont pas encore verdi en totalité dans les Préalpes, ce qui ne garantira pas des photos exceptionnelles. Je me tourne alors vers les Alpes internes, avec cependant des précautions à prendre en raison du risque élevé d’avalanche. J’opte pour une face sud, au manteau plus stable, quand il n’est pas absent. Je jette mon dévolu sur le Col du Galibier. La voiture garée au Col du Lautaret, j’attaque l’ascension à 14h45. Le soleil est presque piquant. Le parcours emprunte la totalité de la route goudronnée, qui est dégagée sur presque la moitié. Je rencontre le chasse-neige stationné vers 2345 m, au droit du torrent de Roche Noire. A partir de là, il faudra seulement compter sur l’action du soleil de ces dernières semaines pour observer un peu de bitume, plus facile à arpenter. Sur les faces sud, aucun problème, mais dès l’approche de versants exposés différemment, les quantités de neige deviennent toute autre. Vers 2500 m, en rive droite du torrent du Galibier, d’anciennes coulées m’obligent à chausser les raquettes… pour une courte durée, une des lanières en plastique a cassé. Impossible de continuer ainsi, je les accroche au sac et reprends la marche seulement équipé de guêtres. Une fois cette section délicate passée, j’atteins le refuge du Galibier, à hauteur du tunnel. Un coup d’œil sur la dernière portion menant au col, il semblerait que ça passe. Un dernier effort me conduit à l’objectif du jour, non sans avoir douté au moment d’avoir traversé une combe particulièrement exposée. Vers 18 heures, me voilà enfin arrivé à la table d’orientation. Les conditions sont très ventées mais la vue vaut le détour. Côté Valloire, je vois les stigmates de nombreuses coulées avalancheuses, l’une d’entre elles a probablement emporté les 4 skieurs il y a quelques heures à peine… glaçant.

Longtemps j’hésite : est-ce que je plante la tente au col afin de profiter du panorama, ou est-ce que je redescends vers le refuge pour être plus tranquille au niveau du vent ?
Ce sera la seconde option, plus sécuritaire.

Je choisis mon spot dans ce vaste espace ouvert et installe ma tente littéralement sur la route, recouverte d’une bonne épaisseur de neige cela dit. A peine ai-je fini de mettre en place mon campement que le soleil passe derrière la montagne, il est temps de manger.
Peu avant la tombée de la nuit, je pars à la recherche d’un endroit plus photogénique que mon lieu de bivouac entouré d’éléments anthropiques. Je remonte la combe derrière, et y trouve un somptueux paysage maculé de blanc, sans aucune trace. Durant toute l’heure bleue, j’immortalise les belles courbes du relief enneigé, fort esthétique.
De retour à la tente, une petite sieste est fort bienvenue…sieste oui, car à minuit, me voilà de nouveau à vadrouiller dans le secteur. Néanmoins, l’humidité est importante, des nuages approchent par le sud-ouest, m’empêchant de faire les prises souhaitées. Probablement effrayé ou importuné par ma frontale, un choucas sorti de nulle part fait mine de m’agresser, m’envoyant même une rafale de déjections, qui heureusement ne m’atteignent pas. Quelle action improbable !

Je retourne me coucher en espérant avoir de meilleures conditions plus tard. Peine perdue, vers 3h, je jette un œil dehors : brouillard complet. Tant pis.
5h45, le réveil sonne une fois de plus, l’aube est déjà entamée. Ni une ni deux, je me précipite vers la combe derrière, le temps est dégagé et les cimes ont fière allure là-bas. Au bout de ce vallon se trouve un col, à 2593 m. Il y règne un vent à décorner les bœufs, engourdissant les doigts en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, mais la vue sur les reliefs plâtres vaut bien ce sacrifice. L’ambiance hivernale est saisissante de beauté, sur cette neige regelée durant la nuit qui craquelle au gré de mes pas, la brume glisse à toute vitesse. Je ne manque pas de capter cette scène, malgré ce froid mordant.
De retour à mon abri de fortune, j’avale rapidement une barre de céréale, plie mes affaires, et entame le chemin du retour. Le col du Lautaret est retrouvé sur les coups de 10 heures.

Une sortie aussi éprouvante qu’étonnante. Eprouvante par la longueur de la route entre le Lautaret et le Galibier, les passages de neige épaisse, le vent et le sommeil quasi-inexistant ; étonnante par la pureté des paysages à l’ouest du col, comme si février s’était invité en mai…

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Pic du Mas de la Grave (3020 m) – Grandes Rousses
Pic du Mas de la Grave (3020 m) – Grandes Rousses
9 août 2020 In Grandes Rousses No Comment

8-9 août 2020

Pour se changer les idées et fuir la vague de chaleur qui arrive, direction la montagne. Cette fois, la destination se trouve dans le massif des Grandes Rousses, en Oisans. Mon camarade Olivier se joint à moi sur cette sortie. L’objectif fixé est un 3000 facile : le Pic du Mas de la Grave.
Nous partons des environs de Grenoble vers 14h30, ce qui nous amène au charmant village de Besse vers 16h. De là, une piste carrossable permet d’atteindre le Plateau d’Emparis. Milieu d’après-midi oblige, de nombreuses voitures descendent, contraignant à quelques manœuvres. Un peu plus loin, la zone de stationnement est atteinte, il y a moins de monde que j’imaginais. Il est 16h50 quand nous entamons les premières foulées depuis les abords du Col Saint Georges (2240 m). Le panneau indique 7,1 km et 3h25 d’ascension. Mieux vaut ne pas traîner.

Le début de la rando consiste en une longue marche d’approche pour remonter doucement le vallon sur près de 5,5 km. A bon pas, nous avalons tout cela en 1h20, en compagnie des marmottes, nombreuses ici. Ensuite, se dresse devant nous l’imposante muraille rocheuse qu’il va falloir gravir. Il reste environ 600 mètres de dénivelé. Le sentier ne fait pas de chichi et trace presque droit dans la pente. En bonne forme, nous ne mettons que 1h20 pour atteindre la cime, qui se décompose en deux parties : la première en léger contrebas est matérialisée par un grand cairn vertical, puis la seconde et véritable sommet s’élance plus au nord, dans un dédale de schistes acérés. Entre les deux, un petit col avec un emplacement idéal pour le bivouac. Nous y plantons la tente.
Du fait des conditions anticycloniques, le coucher de soleil est comme prévu fade, avec une atmosphère laiteuse et un ciel quasi dépourvu de nuages. Nous cassons la croûte ici, face aux Aiguilles d’Arves qui se présentent sous leur meilleur profil depuis ce point de vue.

La nuit tombe progressivement et un spectacle pour les yeux se prépare : les Perséides. C’est en effet la période de la nuit des étoiles, événement traditionnel de la première quinzaine d’août. Quelques météores illuminent le ciel stellaire, bien que moins nombreux qu’annoncé. Pendant ce temps, je m’occupe à capter la Voie lactée, bien visible en début de nuit, de même que Saturne et Jupiter, les vedettes de cet été. A 23h30, la Lune émerge à l’est, synonyme de fin de partie et de retour à la tente. Le vent s’est levé et il gêne quelque peu le sommeil, d’autant plus que le réveil sonne à 5h30.

J’émerge de l’abri de fortune, prends le matériel photo et remonte au Pic du Mas de la Grave. Aucun nuage ne vient trahir la limpidité de l’atmosphère. L’horizon se pare de couleurs chaudes, offrant de beaux dégradés, jusqu’à ce que le Soleil fasse son apparition par-delà les Aiguilles d’Arves. Comme la veille au soir, les couleurs ne sont pas exceptionnelles et il manque clairement de la texture pour que la scène soit photogénique. Qu’importe, le plaisir est là malgré tout. Après une petite sieste matinale, les bagages sont pliés, à 9h20 démarre le chemin du retour. La raide descente est rapidement négociée, jusqu’à retrouver les alpages du plateau d’Emparis. Sous un soleil de plomb, la traversée est animée par les centaines de moutons qui composent les troupeaux, dirigés par les bergers et leurs chiens. A 11h10, le parking est atteint, concluant cette sympathique parenthèse alpine.

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